Nations Unies, 17 décembre 2014 - Conférence de presse de fin d'année du Secrétaire général de l'ONU, M. Ban Ki-moon (Remarques préliminaires et question d'un journaliste).
« L’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest a mis au défi la communauté internationale d’une manière sans précédent », a-t-il remarqué avant de rappeler que l’ONU avait mobilisé sa toute première mission de santé d’urgence à l’échelle de tout le système: la Mission des Nations Unies pour l’action d’urgence contre l’Ebola (MINUAUCE).
Le Secrétaire général a annoncé qu’il partait ce soir même en voyage pour la Guinée, le Libéria, le Mali et la Sierra Leone, soit les quatre pays les plus touchés par l’épidémie d’Ebola, et qu’il se rendra aussi au Ghana où siège la MINUAUCE. Le Secrétaire général a dit qu’il sera accompagné par les docteurs Margaret Chan, Directrice générale de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), et David Nabarro, Coordinateur des Nations Unies pour la lutte contre Ebola, et qu’il entend ainsi montrer sa solidarité avec les personnes touchées et exhorter la communauté internationale à intensifier l’action au niveau mondial. « M. Anthony Banbury, Représentant spécial au Ghana et Chef de la MINUAUCE, m’accompagnera tout au long de ce voyage », a indiqué le Secrétaire général.
« Tous ceux qui interviennent contre l’Ebola font un travail héroïque », a-t-il remarqué en saluant aussi la forte détermination dont font preuve les communautés locales et les gouvernements nationaux. Il a également noté la vague impressionnante de contributions aux secours venue de toute l’Afrique et de partout dans le monde. « La stratégie de réponse à l’Ebola commence à porter des fruits, et nous commençons à voir des améliorations dans la situation », s’est réjoui le Secrétaire général. Il a précisé que les cinq objectifs assignés à la Mission des Nations Unies commencent à être atteints.
M. Ban a toutefois averti que la Mission était à court de personnels et de ressources. Il a demandé que tout soit fait pour mettre fin au plus vite à l’épidémie, car tant qu’il reste même un cas d’Ebola, le risque demeure, a-t-il tenu à rappeler. Le virus Ebola continue en outre à faire monter les prix alimentaires, à empêcher les enfants d’aller à l’école et à nuire aux activités des entreprises, a regretté le Secrétaire général.
Global Ebola Response
« L’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest a mis au défi la communauté internationale d’une manière sans précédent », a-t-il remarqué avant de rappeler que l’ONU avait mobilisé sa toute première mission de santé d’urgence à l’échelle de tout le système: la Mission des Nations Unies pour l’action d’urgence contre l’Ebola (MINUAUCE).
Le Secrétaire général a annoncé qu’il partait ce soir même en voyage pour la Guinée, le Libéria, le Mali et la Sierra Leone, soit les quatre pays les plus touchés par l’épidémie d’Ebola, et qu’il se rendra aussi au Ghana où siège la MINUAUCE. Le Secrétaire général a dit qu’il sera accompagné par les docteurs Margaret Chan, Directrice générale de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), et David Nabarro, Coordinateur des Nations Unies pour la lutte contre Ebola, et qu’il entend ainsi montrer sa solidarité avec les personnes touchées et exhorter la communauté internationale à intensifier l’action au niveau mondial. « M. Anthony Banbury, Représentant spécial au Ghana et Chef de la MINUAUCE, m’accompagnera tout au long de ce voyage », a indiqué le Secrétaire général.
« Tous ceux qui interviennent contre l’Ebola font un travail héroïque », a-t-il remarqué en saluant aussi la forte détermination dont font preuve les communautés locales et les gouvernements nationaux. Il a également noté la vague impressionnante de contributions aux secours venue de toute l’Afrique et de partout dans le monde. « La stratégie de réponse à l’Ebola commence à porter des fruits, et nous commençons à voir des améliorations dans la situation », s’est réjoui le Secrétaire général. Il a précisé que les cinq objectifs assignés à la Mission des Nations Unies commencent à être atteints.
M. Ban a toutefois averti que la Mission était à court de personnels et de ressources. Il a demandé que tout soit fait pour mettre fin au plus vite à l’épidémie, car tant qu’il reste même un cas d’Ebola, le risque demeure, a-t-il tenu à rappeler. Le virus Ebola continue en outre à faire monter les prix alimentaires, à empêcher les enfants d’aller à l’école et à nuire aux activités des entreprises, a regretté le Secrétaire général.
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